Le Vénérable Père Marie-Antoine de Lavaur, capucin, appelé Le Saint de Toulouse (1825-1907)
  
 
 
 
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L'Amitié

L'ŒUVRE ÉCRITE DU PÈRE MARIE-ANTOINE RÉÉDITÉE


"Quand ma bouche ne pourra plus parler, que ceci parle encore"

 

PARU EN OCTOBRE 2016

 Editions du Pech

L'AMITIÉ

LES PLUS CÉLÈBRES SAINTES AMITIÉS

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    Ce livre sur l’amitié est comme le complément intrinsèque de « l’Amour n’est pas aimé ». Le second volet de la même histoire d’amour d’un Dieu pour les hommes. Qui le lui rendent plutôt mal, nous le savons. Mais d’un Dieu fidèle, et qui le dit. Cet amour est si fort, si bouillonnant, qu’il doit déborder de chacun pour chacun. Et, de temps en temps, comme un cadeau, une étincelle dans l’amour, la rencontre de deux êtres, le P. Marie-Antoine dit « de deux âmes », une extase spirituelle qui a des airs de coup de foudre, pour une amitié qui, elle, est éternelle, concrète, de tous les jours, solide comme le granit, transparente comme le diamant.

On retrouve, du missionnaire, les mots qui se comprennent, coulent de source, donnent envie d’y croire, à la sainte amitié comme il l’appelle, et peut-être de porter un nouveau regard sur nos propres amitiés.

Rien ne vaut l’exemple, aussi nous propose-t-il ensuite, longuement, celui des saints. Pas moins d’une vingtaine d’histoires de l’amitié, après l’amitié de Jésus et de Marie pour les hommes, de Joseph pour Jésus et Marie. L’amitié, à travers les temps, de David et Jonathas,  de saint Antoine et saint Paul, de saint Hilaire et saint Martin, de saint Grégoire et saint Basile, de sainte Monique et saint Augustin, de saint Benoît et sainte Scolastique, de saint Pierre Damien et saint Grégoire VII, de saint Bruno et le Bienheureux Urbain II, de saint Bernard et saint Norbert, de saint Jean de Matha et saint Félix de Valois, de saint Dominique et saint François, de saint Bonaventure et saint Thomas d’Aquin, de saint Ignace et saint François-Xavier, de saint Sixte et saint Laurent, de sainte Thérèse et saint Jean de la Croix, de saint Philippe Néri et saint Camille de Lellis, de saint François de Salles et saint Vincent de Paul …

 

Et puis, avant d’écrire le mot fin, le P. Marie-Antoine ouvre un ultime chapitre, pour une confidence : l’amitié qui a illuminé sa route à lui. Elle a traversé sa propre vie en arrivant sans crier gare et sans que les obstacles et l’éloignement puissent jamais la briser. Le capucin connu de tous et un breton presque anonyme, tous deux en pèlerinage en Terre Sainte, se rencontrent « entre Béethléem et Jérusalem, à l’endroit où les Mages ont revu l’étoile. Nous avons, dès l’instant, commencé à nous aimer comme si nous nous étions toujours connus. À la première parole, nos cœurs se sont compris et nous voilà fondus ensemble. Mon nom seul a suffi pour préparer cette conquête de son cœur. Il aimait tant la sainte Vierge, il aimait tant saint Antoine de Padoue. Comme gage de fidélité de notre amitié, nous avons échangé nos bâtons de pèlerin. »

 

Quoi de plus personnel, de plus intime que l’amitié. Et pourtant, nous a-t-il dit comme en introduction : « L’amitié, ne l'oublions pas, n'est pas autre chose que le lien des cœurs, c'est elle qui les unit. Or, dans l'union est la force, la force pour le bien et aussi la force pour le mal. Si rien n'est fort comme l'amour ou la haine, que dire de la force d’une union dans l'amour, ou la haine ? »  Et l'amitié, quand elle est belle et pure, quand elle se fait « force du bien », c’est qu’elle se nourrit de l’amour de Dieu. Et quand elle s’ajoute à d’autres amitiés à travers le monde, elle devient unité, elle devient source de paix. Cette unité et cette paix que trouvera Jésus en revenant sur la terre. D’où l’affirmation prophétique de l’apôtre, qui est un cri d’espérance: « Les faits le confirment, le monde se précipite visiblement vers l’unité, les barrières qui séparaient les peuples tombent. La presse, la vapeur, l’électricité, le téléphone et mille autres inventions mettent continuellement en rapport et en présence toutes les nations de la terre. Il faut qu’elles se détruisent ou qu’elles s’embrassent. Elles s’embrasseront sur le cœur de Jésus, et le règne de la sainte amitié sera la transition de la terre au paradis. C’est bien là la pensée dominante de ce livre. Encore une fois, tout est dans le Christ, le bonheur individuel et le bonheur social. »

 

248 pages. Prix public : 15,00 €. En vente dans les librairies et
Sur commande en 24 (cliquer ici)

 

N.B. Nous vous recommandons, dans une parfaite complémentarité, « L’Amour n’est pas aimé » déjà paru. 160 pages, 12,50 €  + 2,50 € de port. (les 2 livres : 4 € de port)


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