Le Vénérable Père Marie-Antoine de Lavaur, capucin, appelé Le Saint de Toulouse (1825-1907)
  
 
 
 
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Témoignages reçus (2004-2005)

    

TÉMOIGNAGES 1. (2004-2005)

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AUDE

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Je ne connais pas grand’chose de lui, mais il est vrai que sa personnalité est présente. Je crois aujourd’hui, au début de ma vie religieuse, qu’il m’aide à fixer mon regard sur le Christ et sa Mère (14/11/04).

Plus ça va et plus j’aime ce grand homme (pour ne pas dire « saint »). Je crois qu’il m’apprend beaucoup par son courage et sa volonté de suivre le Christ. Finalement pour un religieux, comme pour tout chrétien d’ailleurs, c’est ça l’unique but : suivre Jésus, l’aimer et le faire aimer. J’attends avec impatience la sortie de votre livre et je prie bien pour que ce travail soit vraiment au service de la ville de Toulouse, mais aussi et surtout de l’Église de Dieu (08/05/05). 

Un mois après avoir reçu votre courrier contenant le dossier de l’association, je vous réponds par deux convictions qui désormais m’habitent : « J’y crois ! » et « Merci. » J’y crois désormais de manière vraiment convaincue. En effet, même si je ne connais pas grand-chose dans la vie des saints et dans leurs manières d’être reconnus comme tels par l’Église, je me dis que votre association pour la mémoire d’un serviteur de Dieu, 100 ans après sa mort, avec le désir de tout reprendre dans un climat de prière, d’écoute et de partage : c’est tout gagné !!! Et je crois qu’il sera un jour béatifié. Donc, « merci » ! Merci de rendre à l’Église en premier lieu ce grand service, mais aussi pour tous les Toulousains qui déjà ont reconnu chez le P. Marie-Antoine un vrai témoin du Seigneur. Enfin, merci de m’avoir mieux fait connaître mon deuxième saint patron de religion, qui m’apporte par sa vie un désir de suivre Jésus dans la fidélité. Transmettez de ma part à tous les membres de l’association mes encouragements et ma prière. Que l’Esprit Saint vous illumine pour les rencontres que vous aurez à faire, qu’il vous guide afin que la volonté du Père s’accomplisse. Merci pour tout (03/11/05).


 

Frère Marie-Antoine - Petit Frère de l'Agneau

 « Tout reprendre dans un climat de prière,
d’écoute et de partage, c’est tout gagné ! »

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AVEYRON
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  Je suis un modeste agriculteur à la retraite, avec pour bagage un simple certificat d’études primaire. Je vous assure cependant de mes prières. En effet, rares sont les soirs où je m’endors sans avoir invoqué la noble et belle figure spirituelle du P. Marie-Antoine, et ceci depuis de longues années.

Bon courage et union de prières (15/11/05)

 

 

Urbain S.
"Depuis de longues années,

je l'invoque tous les soirs"

 

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CORRÈZE
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  J’ai entendu parler du P. Marie-Antoine en août dernier (août 2004) alors que je passais quelques jours chez les Frères qui possèdent dans leur chapelle à quelques kilomètres de Lourdes, une statue commandée par le P. Marie-Antoine pour le couvent de Toulouse. Cette statue (de Notre-Dame des Anges, qui dominait le maître-autel de la chapelle du couvent du P. Marie-Antoine avant les expulsions et jusqu’en 1907) a été sauvée des intempéries, abandonnée au fond du jardin des Capucins. Je ne suis pas particulièrement franciscain de spiritualité, mais j’ai une grande dévotion à saint Antoine de Padoue, au saint Padre Pïo et au saint Léopold Maubec, capucin de Padoue canonisé par Jean-Paul II. Soyez assurée de mes prières dans ce travail (02/09/04).
Comme il est bien triste que le P. Marie-Antoine tombe dans l’oubli, c’est incroyable. Je m’adresse à des communautés afin de trouver des ouvrages, dans le sud-ouest : son nom même est ignoré ! Il est évident qu’une nouvelle biographie s’impose ! Je ne pense pas qu’on puisse faire du politiquement correct avec le bon Dieu, par son Fils Jésus. Il a bouleversé nos vieilles habitudes et cela demeure toujours d’actualité grâce à ces saints (15/11/04).

Après tant d’années, il est heureux que le P. Marie-Antoine puisse être largement connu et prié. Le bon Dieu s’est laissé toucher par nos prières et celles de saint Antoine, très certainement. Puisque vous avez la chance de pouvoir prier sur le tombeau du bon Père, je me confie à vous afin de le prier pour moi (26/01/05).

La statue de la Vierge se trouve près d’Argelès-Gazost, à la villa Aurore, chez les Frères de la Saint Famille. C’est en remerciements à un vœu fait à la Vierge Marie sur le conseil du P. Marie-Antoine, que des parents dont l’enfant fut miraculeusement sauvé, l’offrirent au Père. Elle pèse 500 kg. Elle se retrouva exposée à toutes les intempéries dans le fond du jardin de la Côte-Pavée. Le propriétaire de la villa Aurore, un saint homme, tertiaire franciscain, obtint de la placer chez lui. Elle y est toujours, vénérée depuis les années 60 (2008 : Elle est aujourd’hui dans une chapelle à Castres) (03/09/05).


 

Gilles S.
"il serait bien triste
que le P. Marie-Antoine tombe dans l’oubli"

 


Gilles S.

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HÉRAULT
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J’espère que ces documents vous seront utiles. Je vous les confie car je sais que vous en prendrez soin. Je suis intéressée par les lettres envoyées par le P. Marie-Antoine à mon arrière arrière grand’mère (Joséphine D.-D.) ainsi que celles qu’elle lui a adressées. En effet, je cherche deux enfants nés dans des conditions qui ont dû la peiner et dont elle lui a certainement parlé (09/10/06).
Mon ancêtre a connu le P. Marie-Antoine lors de sa mission de la Platée à Castres en 1868. Elle a reçu 500 lettres du P. Marie-Antoine, et lui en a écrites plus de 200, toutes remises au vice-postulateur. Joséphine a été élevée par les religieuses de N.D. de la Présentation. Elle a habité une campagne à Castres de 1853 à 1920. Son mari, percepteur, volage, est mort ruiné. Ils ont eu trois enfants qui sont allés à l’école séraphique exilée en Espagne, d’où l’aîné s’est sauvé grâce à un louis d’or que leur mère lui avait cousu dans la doublure de son manteau. Joséphine a souhaité dans sa mort avoir la tenue du Tiers-Ordre de Saint François. Elle a fait de très gros dons pour la construction du Pech.


 

Flore P.
"Mon ancêtre a reçu cinq cents lettres
 du P. Marie-Antoine"

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LOIRET
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  C’est avec joie que j’ai appris, grâce à une personne amie, l’existence d’une Association voulant commémorer le centenaire de la mort du P. Marie-Antoine. Heureuse initiative qui m’a touché en proportion de l’admiration que je porte à celui que l’on appelle le « Saint de Toulouse ». En effet, il y a longtemps que j’ai fait sa connaissance en lisant le gros volume du P. Ernest-Marie de Beaulieu. Pour la suite, j’ai pu retrouver le volume des Lettres à sa famille, ainsi que le livre de son neveu, l’Abbé Périlié. Très simplement, je dois vous dire que le P. Marie-Antoine tient une bonne place dans ma vie de prêtre, mais aussi de Tertiaire de Saint-François. Par ailleurs, il y a une bonne vingtaine d’années, avec un groupe de prière dont je m’occupais à Lourdes, j’ai eu la grâce de dire la messe, en passant à Toulouse, auprès de la tombe du P. Marie-Antoine. Mon attachement à la sainte et admirable mémoire du P. Marie-Antoine pourra se concrétiser en participant à l’Association qui se crée. La figure du « Saint de Toulouse » est inoubliable et toujours émouvante. Sa sainteté m’est toujours apparue certaine. Il aurait tout à dire à notre monde actuel qui lui ferait verser des larmes de douleur ! Il aurait encore tant à dire aux prêtres et âmes consacrées… Puisse le fait de réveiller son souvenir être une grâce pour beaucoup. Croyez à ma pensée reconnaissante et au soutien de ma prière. J’ai lu « Le Saint de Toulouse s’en est allé ». Le P. Marie-Antoine aimerait certainement cette manière de présenter sa vie, sa vocation, sa mission… Entre autres, j’ai apprécié que le premier chapitre évoque cette mort qui eut un grand retentissement. C’est une manière de reconnaître que sa disparition n’est qu’apparente ! Dans un autre chapitre, j’ai été heureux de voir que le contexte social et politique de 1848 était bien mis en relief, à Toulouse en particulier. On a trop présenté les saints hors de leur temps. Or, c’est très intéressant de saisir les évènements de l’Histoire dans lesquels le P. Marie-Antoine a vécu et réagi. Vous écrivant en ce jour de la Fête de tous les Saints, sa présence s’impose à notre regard éclairé par la foi. C’est un authentique fils de saint François, mais aussi un prêtre admirable dont l’âme apostolique est bouleversante. Nous en avons besoin… J’ai été fort intéressé sur l’œcuménisme de la prière. Initiative originale, mais qui a son actualité, et son urgence, bien comprise (01/11/05).


 

Abbé Jean-François Villepelée
"Un prêtre admirable

dont l’âme apostolique est bouleversante"

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LOT
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  Un de mes amis m’a fait part de votre association ayant pour but de faire connaître le R.P. Marie-Antoine le « Saint de Toulouse ». C’est pour moi une grande joie de voir que cette « Cause » va enfin avoir une chance d’aboutir. En effet, notre Quercy a eu maintes fois les bonheur d’être évangélisé par le P. Marie-Antoine. Cahors dès 1857, la croix de mission a été remplacée par une autre plus simple en fer forgé. Salviac en 1875 : la croix de mission y est toujours à l’église romane. Roc-Amadour : lieu tant aimé du R.P. Marie-Antoine. C’est là qu’il a souvent prêché ! C’est là qu’il a reçu le dernier soupir de l’évêque de Cahors, Mgr Grimardias (1896). Le chemin de croix (1887) est contemporain du R.P. Marie-Antoine. Je suis depuis 2003 retraité des PTT, je vais avoir en 2006, 58 ans ! C’est depuis mon adolescence que j’ai entendu parler du grand capucin barbu : ma grand mère paternelle se souvenait de l’avoir vu prêcher auprès d’une statue de N.D. de Lourdes placée au-dessus d’une fontaine : le Capucin était grimpé sur le socle pour parler à la foule à environ deux mètres au-dessus du sol. Les gens avaient peur qu’il ne tomba de cette chaire improvisée ! Le bon Père les rassura en disant : « Si je tombe et que je meure, vous m’enterrerez aux pieds de la Vierge ». C’était la seule phrase que ma grand mère paternelle se souvenait car bien sûr à cette époque elle était petite fille. Je me souviens également qu’à Dégagnazès (commune de Peyrilles), dans le Lot, était conservé dans un boîtier en bois doré, diverses reliques et dont une parcelle de flanelle du P. Marie-Antoine… Depuis, le petit coffret a été vidé de son contenu et il est conservé dans l’église car classé Monument Historique ainsi que les deux piétas vénérées sous le titre de N.D. de Compassion. Pour ma part, ayant eu l’occasion d’aller à Toulouse en 1983, j’ai pu voir un couvent des Capucins de Toulouse, la cape de bure, la croix de missionnaire, un bout de cordon et une sandale de cuir du R.P. Marie-Antoine. C’est à cette occasion que le Père Gardien du couvent m’a donné un fragment de bure de la cape, précieuse relique que je conserve dans un petit cadre. Parmi les livres, je conserve également : le gros volume de la sa vie par le P. Ernest de Beaulieu (1928), la Vie populaire du P. Marie-Antoine par l’abbé Périllié, neveu du P. Marie-Antoine, le P. Marie-Antoine orateur, choix de discours, 1° série (1928) ; le P. Marie-Antoine « Le Routier di Seigneur » par M. Dufaur (1953), Lettres du P. Marie-Antoine à sa famille (1913), Manuel du Pèlerin de Lourdes, par le P. Marie-Antoine (1873), Amour et douleur, Ste Marie-Madeleine et N.D. de Lourdes, par le P. Marie-Antoine (1888), Vie séraphique, St Antoine de Padoue, par le P. Marie-Antoine (1897), Les grandes gloires de St Antoine de Padoue par le P. Marie-Antoine (1894). Voilà pour ma petite « collection » qui me sert de temps à autre. Si un jour on pouvait faire une liste la plus complète possible des lieux où le P. Marie-Antoine est passé, cela serait très précieux. Dieu se plaît à manifester sa gloire dans les saints comme le P. Marie-Antoine, et cela en leur laissant tout le pittoresque de leur nature. En espérant que ce petit mot contribuera à la gloire du grand Capucin, le Saint de Toulouse et de France. (21/11/05)


 

Yves B.
"C'est depuis mon adolescence
que j'ai entendu parler
du grand capucin barbu"

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LOURDES
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L’approche de la prière par l’œcuménisme n’est pas très courante. Travaillant dans les Sanctuaires, nous avons eu l’occasion de mentionner la place du M. Marie-Antoine à l’origine des processions. J’ai donc demandé conseil à un de nos grands spécialistes du message de Lourdes. Il aime bien démontrer l’importance que le P. Marie-Antoine a eu au début de la vie des Sanctuaires de Lourdes, d’autant que le P. Marie-Antoine a été l’un de ceux qui a, tout de suite, reconnu l’authenticité des apparitions. (28/10/05)

 

 

Marie-Elisabeth Aubry
Tertiaire franciscaine

"L'un de nos grands spécialistes du message de Lourdes aime bien démontrer l'importance
du P. Marie-Antoine à l'origine des processions"

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TARN
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En vous souhaitant d’avoir la force nécessaire pour mener à bien votre entreprise… (26/02/05)



Mgr Pierre-Marie Carré -archevêque d’Albi

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TOULOUSE
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Je vous remercie de votre belle étude sur le P. Marie-Antoine ainsi que de votre notice sur les Frères de la rue et le P. Marie-Antoine. Les Capucins sont disposés à vous aider dans la mesure où ils le peuvent et étant donné que les principaux documents sur le sujet sont actuellement aux Archives des Capucins à Bron (14/01/05).

 

 

P. Simon Legasse - capucin
"Les Capucins sont disposés à vous aider"

 

Je viens de lire avec intérêt votre article dans la revue du Rosaire. Ce fut une joie pour moi. Après 40 ans d’absence de Toulouse… de voir  que le P. Marie-Antoine n’était pas encore oublié. Merci. Le 15 août dernier, à l’occasion du pèlerinage de Jean-Paul II, j’avais été quelque peu déconcerté de voir que le P. Marie-Antoine ne faisait plus partie de l’histoire de Lourdes. « Lourdes au Cœur » titrait le journal ! J’ai pensé qu’il serait utile de faire un site Internet. Il est en chantier ! Je me réjouis donc de votre initiative de créer une Association pour que « Mémoire ne se perde ! » En vous remerciant de nous encourager à remuer les vieux papiers pour mettre ce frère à sa vraie place (26/03/05).
Je pense effectivement qu’il nous appartient de « Garder et de Faire Mémoire » de notre Père Marie-Antoine. Il eut un rôle déterminant, en ces lendemains de Révolution, pour permettre à des millions de personnes de retrouver la foi de leur baptême. Il sut donner aux célébrations de Lourdes un caractère qui lui est propre et qui se poursuit aujourd’hui. Il me semble que ce serait important d’en « faire mémoire » à Lourdes en 2007. Ce ne serait que Justice. Au moins ça ! Je prie pour que le Seigneur couronne vos efforts (14/07/05)

 


P. Bernard Capucin
"Pour que mémoire ne se perde,
ce ne serait que justice"

 

 

J'ai pris connaissance avec un grand intérêt et beaucoup de joie de votre article sur le P. Marie-Antoine dans la revue du Rosaire. Voilà qui augure bien de vos travaux à venir qui seront bénéfiques pour l’Eglise qui est à Toulouse, comme aussi pour la Ville elle-même. Je vais m’employer à faire connaître cette première contribution par tous les moyens dont je dispose (26/03/05). Je me réjouis de ce que l’on fasse revivre la mémoire de cette haute figure toulousaine et ecclésiale.

Je vous redis ma confiance (28/10/05)

 

 

Mgr Emile Marcus - archevêque de Toulouse
"Je me réjouis que l'on fasse revivre
la mémoire de cette haute figure ecclésiale"


 

Le P. Marie-Antoine est déjà un intercesseur, qu’il ait ou non une sainteté reconnue, c’est important pour nous et pour son rayonnement, pour lui ça ne change rien (20/11/04).

 Bon vent de l’Esprit Saint pour votre entreprise, qu’Il la conduise là où Il veut (13/11/05)

 

Mgr Jacques de Saint-Blanquat

ancien évêque de Montauban
"Le P. Marie-Antoine est un intercesseur

qu'il ait ou non une sainteté reconnue"

 

 

Tout comme vous, et, j’espère, d’autres Toulousains, je souhaite que le P. Marie-Antoine soit reconnu dans la cohorte des saints de l’Église catholique. Certes, je suis prêt à œuvrer dans ce sens et, notamment, à ouvrir les colonnes de la revue des Toulousains de Toulouse, l’Auta, à une action en ce sens. Croyez que dans cette bataille, je serai toujours à vos côtés (22/02/05).

Tout ce que vous faites en faveur du Père Marie-Antoine mérite le respect, la gratitude et impose que vous soit apportée l’aide la plus intense (14/11/05)

 

 

Lucien Remplon
procureur général honoraire président
des "Toulousains de Toulouse"

"Je souhaite que le P. Marie-Antoine soit reconnu dans

la cohorte des saints de l'Église catholique"

 

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VIENNE
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J’ai découvert le P. Marie-Antoine il y a quelques années et grâce à la Providence, j’ai pu lire des livres relatant sa vie et je l’ai fait connaître. Cette année, j’ai fait un pèlerinage sur ses pas. (11/10/05).

J’ai connu le P. Marie-Antoine par la lecture d’un livre sur une âme privilégiée de Notre Dame de Lourdes que le P. Marie-Antoine qualifiait de « seconde rose de Lourdes, Bernadette étant la première ». Cette personne, Louise Ripas, a vu et parlé au P. Marie-Antoine à Lourdes. Après j’ai pu trouver rapidement, grâce à l’intercession de Louise Ripas, des livres relatant la vie du P. Marie-Antoine et  depuis, je les ai toujours associés à cause de leur amour pour Notre Dame de Lourdes. Voici deux ans, j’ai été protégée et exaucée par eux. Depuis, par le biais d’une association mariale, j’ai relaté la vie de Louise Ripas et du P. Marie-Antoine, et j’ai pu trouver et rencontrer un descendant de Louise Ripas. Le P. Marie-Antoine a bien pérégriné dans le Poitou. Vous comprenez ma joie en découvrant qu’une association pour la mémoire du P. Marie-Antoine était née. Cet été, je suis allée à Lourdes, Toulouse sur la tombe du P. Marie-Antoine, Lavaur et Notre Dame de Consolation, Notre Dame du Bout du Puy. Voilà deux ans que je devais effectuer ce pèlerinage de remerciement (26/10/05)

 

 

Bernadette B.
"Par lui, par Louise Ripas,
j'ai été protégée et exaucée"

 


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