Lettres à sa famille
L'ŒUVRE ÉCRITE DU PÈRE MARIE-ANTOINE RÉÉDITÉE
LETTRES À SA FAMILLE
" DANS L'INTIMITÉ DU "SAINT DE TOULOUSE "
Une couverture aux couleurs joyeuses, or et verte, qui rappellent les blés dorés et les vertes prairies de la campagne vauréenne. Le P. Marie-Antoine n’aimait-il pas à rappeler l’origine latine du nom de sa ville natale, Lavaur, « le Val d’or » ?
Après le Lis Immaculé et Vatican 1 et l’Infaillibilité du Pape, parus en 2009, voici, dans la même collection, les Lettres à sa famille du P. Marie-Antoine.
Lettres qu’il écrivit depuis son entrée au petit séminaire, il n’a pas 12 ans, jusque quelques jours avant sa mort.
Au total, près de deux cents lettres, avec, inédits, au fil des pages, ici un poème, là, la très belle prière qu’il fit poser,
glissée dans une petite enveloppe jaunie, aux pieds de N.D. de Consolation,
afin de lui confier ce grand passage que nous « appréhendons » tous.
Ou encore son célèbre et très beau discours à la croix sur le Picardie qui avec le Guadeloupe emportaient 1100 pèlerins
pour le premier pèlerinage national de pénitence en Terre Sainte en 1882.
Le volume présenté est préfacé par Jean-François Villepelée, le biographe de Maximilien Kolbe : « Par ses lettres, il est possible de rentrer vraiment
en contact avec le secret de son cœur. Ce sera pour le lecteur une source de joie spirituelle. Une vraie joie ».
Préface suivie d’un avant-propos de Joseph Périlié neveu du P. Marie-Antoine : « C’est dans ces lettres, plus que partout ailleurs,
que l’on sent revivre la personnalité si
du confesseur éclairé et infiniment compatissant à l’humaine misère, de cette âme d’élite qui,
dans le tourbillon d’une existence extraordinairement occupée et dispersée, trouva le moyen
de vivre une vie mystique très intense et très haute.»
Ces lettres sont d’abord de magnifiques élans d’amour à ses parents, sa sœur Marie, et à son neveu Joseph Périlié qui devient prêtre :
"Quand j'aurai le bonheur de
je pourrai chanter mon grand cantique et puis mourir en paix. Le sang qui coule dans mes veines continuera d’être divinisé.
Je commencerai ma vision du ciel dans tes mains consacrées, qui continueront d’être mes mains,
et dans ton cœur de prêtre, qui continuera d’être mon cœur »,
à qui il prodigue des conseils de vie, des conseils d’humilité et d’obéissance.
Cet amour, qui est celui qu’il porte à la Vierge Marie, aux plus pauvres, n’a qu’une source, l’amour de Dieu dont il est inondé.
On y trouve encore, mêlés, des récits hauts en couleur de ses missions,
des réflexions sur le nouveau et l’ancien, l’épée et la plume, la royauté du Christ ou la Cité de Dieu
des conseils de sagesse, des confidences par exemple sur la souffrance à la mort d’êtres très chers qui disparaissent, souvent jeunes, autour de lui :
« Dieu nous a brisés, immolés, crucifiés, il sait bien pourquoi. Pour nous, laissons-lui son secret et son mystère,
ce ne peut être qu’un secret de miséricorde et un mystère d’amour "
Ainsi nous est montré un chemin de sainteté mis à la portée de chacun, aujourd’hui comme hier. Avec pour boussole,
et comme autant de cailloux blancs, cette joie inexplicable qui inonde le cœur dans les pires moments, quand on a prié, quand on a offert, quand on a aimé. « Cette joie qui est sérénité, tranquillité parfaite et extase d’amour, joie pure, douce paix qu’on ne peut trouver qu’en Lui. »
Les Lettres à sa famille sont proposées aux Editions du Pech, en 396 pages, au prix public de 16,5 €.
Un index thématique permet de trouver, ou retrouver après une première lecture, petites phrases et grands sujets qui font la richesse de ce volume.
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